RIP : Requiem In Pace (1)
RIP : Requiem In Pace (1)
RIP, oui Requiem In Pace, or Rest In Peace, mais aussi RIP, Réflexion Individuelle Préalable.
En ce jour du 13 novembre 2016, prenons-un temps de pause et de réflexion, c’est le but du R.I.P. (Réflexion Individuelle Préalable).
Le 13 novembre 2015, c’étaient les événements du Bataclan et du Stade de France à Paris, des événements criminels et meurtriers. D’innocentes victimes, des morts et des blessés graves ou plus légers, meurtris dans leurs corps et plus que tout meurtris dans leurs tes, frappés psychologiquement, choqués, …
Le 12 novembre dernier, c’était la disparition d’un grand poète et interprète Mr Léonard COHEN.
Et en ce 11 novembre passé, la célébration / commémoration des évènements tragiques de 1914-1918.
En rapprochant tout cela, il ne m’est possible que de faire un lien avec cette chanson de Léonard COHEN, voir ici.
En prenant encore plus de hauteur, car il faut bien en prendre vu les discours ambiants de nos politiques (démagogues, populistes, opportunistes, …).
Discours qui volent au ras des pâquerettes, flattant les plus bas instincts.
Il me semble que plutôt qu’un long laïus, il faille en revenir à un artiste majeur : Wolfgang Amadeus MOZART et à un des opus majeur de son œuvre.
MOZART oui, le seul véritable créateur, car qui d’autre en effet a été capable de créer toute son œuvre dans sa tête et de l’écrire ensuite d’un seul jet, sans hésitation ni rature sur le papier.
Chapeau !
Cet opus de MOZART sera mon hommage à tous ces morts pour rien, innocentes victimes sur l’autel des luttes de pouvoir, d’ego, d’industriels, …
Et j’en terminerai donc par cette œuvre inachevée, mais c’est peut-être mieux ainsi et encore plus fort, cette œuvre grandiose, le requiem de MOZART, le requiem in D minor (K 626) voir ici
Non ce n’est pas triste, c’est porteur d’espoir bien au contraire.
Et voilà que malgré tout, j’en ai les larmes aux yeux devant tant de beauté, de pureté, de simplicité, d’épure, …
Merci
PS : ma contribution, certes modeste, aura été une promenade d’une heure trente, casque vissé sur les oreilles à l’écoute du requiem de Mozart et en communion avec toutes ces victimes.
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