Coaching : apports du Coach

mai 12, 2018

Coaching : apports du Coach

Apports du Coach

Apports du coach

Le coach doit savoir donner des « poissons » à son client, quand il en a besoin, sous forme d’apports :

  • Le diagnostic : aider le client à définir la réalité, identification de ses problèmes et de ses besoins, plan d’intervention
  • La théorie : donner des informations qui manquent au client pour appréhender la réalité dans le domaine du management, de la communication,…
  • Les zones d’intervention : préciser où se situe le problème et dans quelle zone il faut intervenir
  • Les options : proposer ou élaborer avec le client des options d’action.
Management des Risques :

Coaching et Risques

  • Faire attention à ne pas faire ses apports trop prématurément

 

Démarche d’Excellence :

  • Parabole du Pêcheur
  • Savoir doser le curseur entre :
    • donner du poisson
    • construire la canne à pêche
    • apprendre à pêcher
    • et … +

S’épanouir tout au long de la Vie

Voir aussi :

  • parabole de la patate chaude
  • Episcript de Fanita ENGLISH

Shadok et patate chaude

 

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Protégé : SAFe / SPC

mai 10, 2018

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Protégé : Le Poetevin (le Poitevin)

mai 7, 2018

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Protégé : Agile Coach

mai 5, 2018

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Vision partagée

mai 5, 2018

Vision partagée

?

Vision partagée ?

Qu’est-ce que la vision partagée ?

Et tout d’abord, qu’est-ce que la vision ?

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If – … (You’ll be a Man, my son!)

mai 5, 2018

If –

If-

You’ll be a Man, my son!

If you can keep your head when all about you
Are losing theirs and blaming it on you,
If you can trust yourself when all men doubt you.
But make allowance for their doubting too;
If you can wait and not be tired by waiting.
Or being lied about, don’t deal in lies,
Or being hated, don’t give way to hating,
And yet don’t look too good, nor talk too wise:

If you can dream —and not make dreams your master
If you can think —and not make thoughts your aim
If you can meet Triumph and Disaster
And treat those two impostors just the same;
If you can bear to hear the truth you’ve spoken
Twisted by knaves to make a trap for fools.
Or watch the things you gave your life to broken,
And stoop and build’em up with worn-out tools:

If you can make one heap of all your winnings
And risk it on one turn of pitch-and-toss,
And lose, and start again at your beginnings
And never breathe a word about your loss;
If you can force your heart and nerve and sinew
To serve your turn long after they are gone,
And so hold on when there is nothing in you
Except the Will which says to them: “Hold on!”

If you can talk with crowds and keep your virtue,
Or walk with Kings —nor lose the common touch,
If neither foes nor loving friends can hurt you,
If all men count with you, but none too much;
If you can fill the unforgiving minute,
With sixty seconds’ worth of distance run.
Yours is the Earth and everything that’s in it,
And —which is more— you’ll be a Man, my son!

If- (Rudyard KIPLING)

If-

If …

Voici le célèbre poème “If-” de Rudyard Kipling (1909),  traduit de l’anglais par André Maurois en 1918, il s’agit de la première traduction en français de ce poème.

Si… Tu seras un homme, mon fils

Si tu peux voir détruit l’ouvrage de ta vie
Et sans dire un seul mot te mettre à rebâtir,
Ou perdre en un seul coup le gain de cent parties
Sans un geste et sans un soupir ;

Si tu peux être amant sans être fou d’amour,
Si tu peux être fort sans cesser d’être tendre,
Et, te sentant haï, sans haïr à ton tour,
Pourtant lutter et te défendre ;

Si tu peux supporter d’entendre tes paroles
Travesties par des gueux pour exciter des sots,
Et d’entendre mentir sur toi leurs bouches folles
Sans mentir toi-même d’un mot ;

Si tu peux rester digne en étant populaire,
Si tu peux rester peuple en conseillant les rois,
Et si tu peux aimer tous tes amis en frère,
Sans qu’aucun d’eux soit tout pour toi ;

Si tu sais méditer, observer et connaitre,
Sans jamais devenir sceptique ou destructeur,
Rêver, mais sans laisser ton rêve être ton maitre,
Penser sans n’être qu’un penseur ;

Si tu peux être dur sans jamais être en rage,
Si tu peux être brave et jamais imprudent,
Si tu sais être bon, si tu sais être sage,
Sans être moral ni pédant ;

Si tu peux rencontrer Triomphe après Défaite
Et recevoir ces deux menteurs d’un même front,
Si tu peux conserver ton courage et ta tête
Quand tous les autres les perdront,

Alors les Rois, les Dieux, la Chance et la Victoire
Seront à tout jamais tes esclaves soumis,
Et, ce qui vaut mieux que les Rois et la Gloire
Tu seras un homme, mon fils.

If-

If-

Une autre version, celle de Jules Castier en 1949 :

Cette traduction s’approche du texte initial, sans être littérale puisqu’elle est en vers.

A la différence de Jules Castier, André Maurois a réécrit et réinterprété le poème en fonction de la culture et de la sensibilité françaises, ce qui lui donne cet élan si particulier.

Si tu peux rester calme alors que, sur ta route,
Un chacun perd la tête, et met le blâme en toi ;
Si tu gardes confiance alors que chacun doute,
Mais sans leur en vouloir de leur manque de foi ;
Si l’attente, pour toi, ne cause trop grand-peine :
Si, entendant mentir, toi-même tu ne mens,
Ou si, étant haï, tu ignores la haine,
Sans avoir l’air trop bon, ni parler trop sagement ;

Si tu rêves, — sans faire des rêves ton pilastre ;
Si tu penses, — sans faire de penser toute leçon ;
Si tu sais rencontrer Triomphe ou bien Désastre,
Et traiter ces trompeurs de la même façon ;
Si tu peux supporter tes vérités bien nettes
Tordues par les coquins pour mieux duper les sots,
Ou voir tout ce qui fut ton but brisé en miettes,
Et te baisser, pour prendre et trier les morceaux ;

Si tu peux faire un tas de tous tes gains suprêmes
Et le risquer à pile ou face, — en un seul coup —
Et perdre — et repartir comme à tes débuts mêmes,
Sans murmurer un mot de ta perte au va-tout ;
Si tu forces ton coeur, tes nerfs, et ton jarret
À servir à tes fins malgré leur abandon,
Et que tu tiennes bon quand tout vient à l’arrêt,
Hormis la Volonté qui ordonne : “Tiens bon !”

Si tu vas dans la foule sans orgueil à tout rompre,
Ou frayes avec les rois sans te croire un héros ;
Si l’ami ni l’ennemi ne peuvent te corrompre ;
Si tout homme, pour toi, compte, mais nul par trop ;
Si tu sais bien remplir chaque minute implacable
De soixante secondes de chemins accomplis,
À toi sera la Terre et son bien délectable,
Et, — bien mieux — tu seras un Homme, mon fils.

 

If-

If-

Et une dernière version, celle de Germaine Bernard-Cherchevsky en 1942.

Cette traduction est la plus respectueuse du texte original, elle est en alexandrin sans rime, mais n’arrive pas à néanmoins à transcrire son entrain.

Pourtant, le poème prend autant aux tripes autant l’Anglais lisant le poème original que le Français lisant la version d’André Maurois ; c’est là où nous pouvons constater que la traduction est un art bien difficile.

Si tu restes ton maitre alors qu’autour de toi
Nul n’est resté le sien, et que chacun t’accuse ;
Si tu peux te fier à toi quand tous en doutent,
En faisant cependant sa part juste à leur doute ;
Si tu sais patienter sans lasser ta patience,
Si, sachant qu’on te ment, tu sais ne pas mentir ;
Ou, sachant qu’on te hait, tu sais ne pas haïr,
Sans avoir l’air trop bon ou paraitre trop sage ;

Si tu aimes rêver sans t’asservir au rêve ;
Si, aimant la pensée, tu n’en fais pas ton but,
Si tu peux affronter, et triomphe, et désastre,
Et traiter en égaux ces deux traîtres égaux ;
Si tu peux endurer de voir la vérité
Que tu as proclamée, masquée et déformée
Par les plus bas valets en pièges pour les sots,
Si voyant s’écrouler l’œuvre qui fut ta vie,
Tu peux la rebâtir de tes outils usés ;

Si tu peux rassembler tout ce que tu conquis
Mettre ce tout en jeu sur un seul coup de dés,
Perdre et recommencer du point d’où tu partis
Sans jamais dire un mot de ce qui fut perdu ;
Si tu peux obliger ton cœur, tes nerfs, ta moelle
À te servir encore quand ils ont cessé d’être,
Si tu restes debout quand tout s’écroule en toi
Sauf une volonté qui sait survivre à tout ;

Si t’adressant aux foules tu gardes ta vertu ;
Si, fréquentant les Rois, tu sais rester toi-même,
Si ton plus cher ami, si ton pire ennemi
Sont tous deux impuissants à te blesser au cœur,
Si tout homme avec toi compte sans trop compter ;
Si tu sais mettre en la minute inexorable
Exactement pesées les soixante secondes
Alors la Terre est tienne et tout ce qu’elle porte
Et mieux encore tu seras un homme mon fils !

If- (Rudyard KIPLING, write in 1909).

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Hymne à la Vie

mai 5, 2018

Hymne à la Vie

La vie est la vie !

« La vie est la vie »

La vie est une chance, saisis la.
La vie est beauté, admire la.
La vie est béatitude, savoure la.

La vie est un rêve, fais en une réalité.
La vie est un défi, fais lui face.
La vie est un devoir, accomplis le.
La vie est un jeu, joue le.
La vie est précieuse, prends en soin.
La vie est une richesse, conserve la.

La vie est amour, jouis en.
La vie est mystère, perce le.
La vie est promesse, remplis la.
La vie est tristesse, surmonte la.
La vie est un hymne, chante le.
La vie est un combat, accepte le.
La vie est une tragédie, prends la à bras le corps.
La vie est une aventure, ose la.
La vie est bonheur, mérite le.
La vie est la vie, défends la.

Prière de Mère Teresa

Mère Teresa (1910-1997)

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Coaching : les compétences du Coach

mai 4, 2018

Coaching : les compétences du Coach

Les compétences du Coach sont :

  • Capacité d’écoute
  • Aptitude à bien gérer un entretien
  • Capacité à gérer ses émotions et à bien vivre son changement

La première qualité du Coach, c’est l’Etre.

Il est donc important que le Coach ait intégré :

  • une formation solide
  • des compétences qui comportent à la fois une expérience suffisante de la vie en entreprise, unecompréhension systémique des Organisations
  • une expérience et une formation à la relation d’aide
  • un travail thérapeutique sur lui-même minimal pour qu’il puisse garder la position de juste distance en toute circonstance
  • et enfin une réflexion déontologique lui permettant de garder une position éthique

Le Coach doit de plus avoir un lieu de contrôle et de supervision, qui lui assure d’avoir les moyens de ne pas être pris dans trop d’angles morts, lui permettant ainsi de distancier les événements.

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Coaching, Coach et Coaché

mai 4, 2018

Coaching, Coach et Coaché

Coach

Qu’est-ce qu’un coach ?

Le coach est :

  • Un interlocuteur du projet du responsable, car « qui gravit la montagne ne voit pas la montagne »
  • Un cartographe qui donne des repères et aide les personnes à se positionner
  • Un accompagnateur du changement qui permet aux responsables, aux équipes et aux organisations de franchir les étapes nécessaires à leurs mutations
  • Un accoucheur de sens qui stimule les responsables à être les porteurs des finalités et des valeurs de l’organisation
  • Un garant de la cohérence qui fait des liens entre les motivations de la personne, ses objectifs professionnels et le projet de l’organisation
  • Un expert des processus relationnels qui joue le rôle d’animateur, de facilitateur et de médiateur.

Coaching

De la même façon, essayons de définir ce qu’est le coaching.

Le coaching peut se définir comme une relation d’aide dans un accompagnement, visant à permettre à un acteur de trouver sa propre solution, dans sa situation et sa problématique professionnelles, dans une perspective à la fois opérationnelle et de développement de sa personnalité managériale.

Le coaching, qui fait référence plus généralement à une relation d’individu à individu, s’applique évidemment à une équipe et s’appelle dans ce cas « team building » ou « cohésion d’équipe ».

Coacher c’est accompagner les personnes de l’entreprise à s’ouvrir à elles-mêmes, au changement et aux mutations culturelles radicales rendues nécessaires dans le management actuel.

C’est une approche pour le développement et l’unité profonde de la personne, dans sa recherche de cohérence entre sa vie personnelle et sa vie professionnelle, tout en la situant fondamentalement dans la perspective de sa cohérence (recherche du sens, en particulier).

Chaque acteur est capable de changer à condition qu’il ait une aide adéquate, et de participer lui-même à son changement, d’en être le moteur.

Le coaching consiste à mettre une homogénéité dans les trois zones suivantes : professionnelle, managériale et organisationnelle.

Situations possibles :

  • Complexe (comme la dynamique du vivant, donc imprévisible)
  • Ambiguë (tout en parlant à un niveau, peut parler aussi d’un autre niveau)
  • Paradoxale (peut générer le contraire, par exemple, aider l’autre à se débrouiller seul)

Le Coach doit :

  • Etre prêt à agir à tout moment et en même temps prêt à ne rien faire
  • Mobiliser son énergie sans envahir

Travaillant sur le comment (le processus) plutôt que sur le contenu, le coaching est donc bien différent du conseil.

Dans le coaching, on ne plonge pas dans le problème, on travaille sur les autres zones.

Coaching – (Types de coaching)

Il y a plusieurs formes de coaching :

  • Le soutien
    • lorsque la personne traverse une période plus ou moins claire, plus ou moins difficile et où, sans fixer d’objectif très précis, elle va progressivement trouver un lieu de parole, d’accompagnement, d’élaboration pour elle-même
  • La crise
    • il s’agit d’une décision à prendre rapidement, d’une échéance qui se présente d’une façon un peu inattendue
    • et la personne, dans les semaines ou les mois qui suivent l’émergence de l’événement, doit faire face à une situation.
    • Il est précieux pour la personne d’avoir son lieu de réflexion, de feedback et d’aide.
    • Le coaching peut éventuellement s’arrêter après que l’événement ait été traversé.
  • Le coaching de performance
    • c’est la troisième forme, la plus fréquente de toutes
    • elle est celle qui consiste, pour la personne, à envisager une période de coaching organisé autour d’une situation managériale
    • C’est par exemple une prise de poste, une restructuration, la constitution d’une équipe, le lancement d’un produit ou d’un projet complexe, une médiation par rapport à une expatriation, etc …
    • et là, le coaching s’inscrira comme un accompagnement dont le premier degré est très opérationnel.

Coaching (intérêts)

Quel est l’intérêt du coaching ?

Le coaching permet :

  • Aux responsables :
    •  de développer leur puissance personnelle et leur capacité à décider dans des situations complexes dont l’enjeu est important
    •  de se dégager de l’opérationnel pour réfléchir au moyen et long terme
  • Aux équipes :
    •  de développer leur performance en favorisant la responsabilité, la créativité et l’initiative
    •  d’accroître leur cohésion en permettant une communication et des relations plus authentiques
  • Aux organisations :
    •  de faciliter le passage d’une culture pyramidale à une culture de projets
    •  de prendre en compte les talents de chaque personne
    •  d’anticiper les changements plutôt que de les subir

Coaching  (commercialisation)

Ce que le coach a à vendre, c’est avant tout lui-même, plus que ses produits.

Pour la vente, il faut préparer ses arguments et documents.

Il faut arriver en bonne forme, assurer sa sécurité ontologique et se préparer physiquement et surtout mentalement.

Avant : mailing, connaissance du client, contrat prescripteur, préparation : look, confort, carte de visite, aspect soigné…
Profiter de l’attente chez le client pour saisir des éléments d’ambiance, pour se mettre dans un bon état d’esprit…

Pendant : le premier contact, « une seule occasion de faire une première impression », si c’est loupé, ce ne sera jamais rattrapable.

Façon dont on se présente, le contact physique avec la main, le regard, …

Penser à la gestion de l’espace.

Bien penser à identifier la taille de la bulle énergétique de chacun et veiller à la respecter.

Éviter le face à face et la droite de la personne (côté de la pensée, le côté gauche est celui du coeur) pour nouer une relation de confiance.

En se mettant à droite on peut parasiter la pensée de l’autre.

Chercher à créer l’alliance.

Après : Le problème cerné, on essaye de faire un pré-closing qui peut prendre la forme d’un rendez-vous ou de l’envoi d’une « propale », en ayant bien pris soin de cerner les objections potentielles.

Le closing peut se résumer à la question : « on démarre quand ? »

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Coaching et modeling

mai 4, 2018

Coaching et modeling

Coaching and Team-Building

Modeling

Par son attitude (par exemple, un comportement intériorisé et silencieux) et/ou par une démonstration (par exemple, un comportement extériorisé), le Coach peut offrir à son champion un modèle que celui-ci va intérioriser, que ce soit consciemment ou non.

Il lui donne ainsi une référence très précieuse sur laquelle il pourra prendre appui en situation réelle.

Cas courant :  en refusant de prendre la patate chaude, le coach montre à son client comment faire pour ne pas prendre en charge lui aussi les problèmes qui ne lui appartiennent pas et qu’il avait pourtant tendance à assumer dans une attitude de sauveteur, croyant bien faire.

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Coaching et modèle ORF

mai 4, 2018

Coaching et modèle ORF

ORF et représentations

Modèle ORF

ORF = O + R + F (le tout se faisant en mode itératif et incrémental, like Agile).

  • O comme Opérations
  • R comme Régulation
  • F comme Formation

En détail :

  • Opérations : travail sur les processus opérationnels
  • Régulation : temps d’intégration, partage de représentations, élaboration de la vision, résolution de conflits
  • Formation : apports ou entraînements spécifiques

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Coaching et Chaos Management

mai 4, 2018

Coaching et Chaos Management

Tux en plein chaos

Management du chaos

L’aspect le plus immédiat de la réalité est désormais l’incertitude: rien ne se passe comme prévu, ce qui génère peur et culpabilité.

Manager dans le chaos implique de sortir de la dichotomie « échec-réussite » pour passer au couple « essai-ajustement ».

Ce n’est que du bon sens en action, du pragmatisme, de l’application de la méthode essai-erreur.

Les éléments constitutifs du chaos management sont: l’ambiguïté, l’ambivalence, le paradoxe, la frustration, la capacité à changer.

Le manager, le collaborateur, le responsable, et toute personne quelle qu’elle soit, doit être à l’aise avec ces éléments.

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Coaching et Process com : portrait d’un coaché

mai 3, 2018

Coaching et Process com : portrait d’un coaché

Portrait d’un coaché :

  • base : Rebelle
  • phase actuelle : Promoteur
  • 3 : Empathique
  • 4 : Rêveur
  • 5 : Persévérant
  • 6 : Travaillomane

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  • Rebelle : Suis-je acceptable ?
  • Promoteur : Suis-je vivant ?
  • Empathique : Suis-je aimable ?
  • Rêveur : Suis-je voulu ?
  • Persévérant : Suis-je digne de confiance ?
  • Travaillomane : Suis-je compétent ?

 

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Sous stress :

  • Rebelle : part en croisade en cherchant à imposer ses convictions
  • Promoteur : critique en sur-contrôlant
  • Empathique : a tendance à se sur-adapter, à en faire trop
  • Rêveur : s’ils ne sont pas avec moi, ils sont contre moi
  • Persévérant : se focalise sur ce qui ne va pas
  • Travaillomane : perfectionniste, préfère faire lui-même

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Attitude du Coach

  • Rebelle : adopter un style décontracté avec le coaché
  • Promoteur : accepter le côté fonceur du coaché
  • Empathique : se montrer compréhensif à ce que le coaché ressent et l’encourager avec chaleur
  • Rêveur : prendre la direction de l’entretien
  • Persévérant : écouter le coaché
  • Travaillomane : fournir au coaché toutes les informations dont il a besoin

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Communication

Pour communiquer efficacement avec ce profil de coaché

  • Rebelle :
    • Utiliser la plaisanterie, la dédramatisation
    • Accepter son goût peu développé pour tout ce qui fait appel aux convenances
    • Favoriser surtout la mise en place d’idées nouvelles
  • Promoteur :
    • Reconnaître ses exploits
    • Accepter son côté vantard
    • Etre ferme avec lui
    • Stimuler son côté « défi »
    • Accepter son goût très limité pour l’organisation très rigoureuse
    • Accepter son aversion pour les reporting systématiques et peu créateurs de valeur
  • Empathique :
    • S’intéresser automatiquement à lui en tant que personne unique
    • Montrer de la compréhension
    • Encourager lors de difficultés rencontrées
    • Chercher chaleureusement avec lui les solutions qui lui permettront de progresser
    • Assurer le soutien et la disponibilité
  • Rêveur :
    • Respecter son rythme tranquille
    • Respecter son rythme tranquille … et efficace parce que tranquille
    • Avoir des échanges brefs et directs
    • Accepter son besoin de solitude
  • Persévérant : un préalable à toute communication, pour pouvoir adhérer, il doit se sentir compris et surtout respecté
    • Interroger sur sa façon de concevoir sa stratégie et son action
    • Proposer de lui donner des conseils (s’il les demande, bien sûr)
    • Souligner les points d’accord
    • Proposer de réfléchir ensemble aux points de désaccord
    • Pratiquer la reformulation de son point de vue
  • Travaillomane :
    • Aller droit au but !

 

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Vie, collectif, groupe, équipe et âme

mai 3, 2018

Vie, collectif, groupe, équipe et âme

Fédérer

Fédérer.

Fédérer l’ensemble du groupe sur un projet commun.

Faire que ce groupe soit le jour J plus fort que l’adversité, qu’il sache donner le meilleur de lui-même sans douter

en lui-même, sans perdre confiance.

Savoir forger une âme de groupe.

Un exemple, le groupe de Mr Aymé JACQUET pendant la Coupe du Monde de Football en 1998 et son

comportement lors de la demi-finale.

Que s’est-il passé pendant ce match ?

Lilian THURAM, modèle de professionnalisme et de régularité, irréprochable et exemplaire, fait une grosse erreur

de défense, la Croatie marque et la France est menée 1-0.

La France est en train de perdre sa demi-finale.

Lilian THURAM marque ce jour-là ses 2 premiers buts internationaux, lui qui n’avait encore jamais marqué en

match international.

Ce sera d’ailleurs ces 2 premiers buts mais aussi ces 2 derniers.

Pourquoi arrive t-il ce jour-là à marquer ces 2 buts ?

Parce qu’il était en confiance et qu’il avait senti une force énorme générée par le collectif.

Force accumulée en amont par la vie du groupe pendant la préparation commune.

Personne ne doutait, ni ses équipiers sur le terrain, ni ceux sur le banc de touche, ni ceux restés en tribune.

Et pas même le coach Aimé JACQUET, ni le staff.

Ce n’est pas le talent qui fait gagner, ni le travail technique, ce ne sont que des pré-requis indispensables, plein

d’équipes possèdent ce bagage minimum à toute aventure collective.

C’est la faculté à forger une âme pour le groupe, le transformer en véritable équipe.

Ame qui lui permettra de renverser les pires situations, de vaincre les difficultés.

C’est en cela que la vie commune et ce qui s’est passé en amont permettent de gagner les grandes compétitions.

C’est la fraîcheur mentale.

Fraicheur mentale qui englobe à la fois, l’envie, l’enthousiasme, la cohésion …

C’est cette fraîcheur mentale et cette force collective qui font la différence dans l’adversité.

C’est ça la VIE.

Quoi de plus beau que la VIE et le monde du Vivant!

V.I.E. = Volonté, Intelligence collective, Envie / Energie

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Coaching et Team-Building : le maître de sabre

mai 3, 2018

Coaching et Team-Building : le maître de sabre

Le Maître de sabre – Conte Zen Traditionnel

Un étudiant en Arts Martiaux se présente devant un Maître de sabre pour devenir disciple.

Le Maître demande :

  • « Que veux-tu ? »

L’étudiant répond :

  • « Maîtriser la voie du sabre »

Le Maître lui donne alors un balai et lui confie tout le ménage de son école en lui interdisant d’assister à ses cours.

L’étudiant passe dès lors des journées exténuantes d’homme de peine mais, à chaque fois qu’il en a l’occasion, il observe en secret les cours de sabre et s’entraîne la nuit à imiter, avec son balai, les techniques qu’il a réussi à surprendre.

Les jours se passent dans le labeur fastidieux du nettoyage.

Le Maître semble avoir totalement oublié le disciple, ne lui adressant jamais la parole et semblant ne pas le voir lorsqu’il le croise.

Le disciple est passablement découragé mais continue néanmoins de balayer.

Au bout de deux mois, alors que le disciple balaie la cour, le Maître s’approche en silence derrière lui et l’assomme d’un coup de bâton.

Après l’avoir ranimé, il lui dit :

  • « Tu dois apprendre le sabre même en balayant ».

Mortifié, l’élève redouble son espionnage, son entraînement secret, en continuant le balayage.

Le Maître a repris son attitude indifférente et le disciple désespéré s’abrutit de fatigue dans son entraînement secret pour calmer ses angoisses.

Au bout de trois mois, dans un état d’épuisement et de frustration totale, il décide de demander des explications au Maître.

Dans un état somnambulique, il se présente devant son Maître, le balai à la main, et ouvre la bouche pour parler, mais avant qu’il ait pu prononcer un mot, le Maître l’attaque avec son sabre.

Dans son état second, le disciple anticipe le mouvement et, sans se rendre compte de ce qu’il fait, il esquive l’attaque et bloque le mouvement du Maître avec son balai comme il l’a vu faire dans les entraînements.

Réalisant ce qui vient de se passer, le disciple est persuadé qu’il va être renvoyé par le Maître auquel il vient de faire perdre la face.

Le Maître lui dit alors en souriant :

  • « Tu as gagné ton premier combat, je t’accepte comme disciple ».

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