Agile analysis and design

Agile modeling

Crystal development process

The Crystal development process is cyclical/iterative.

Its primary components are chartering, delivery cycles, and project wrap-up.

Chartering :

Chartering involves creating a project charter, which can last from a few days to a few weeks.

Chartering consists of four activities:

1) Building the core project team

2) Performing an Exploratory 360° assessment

3) Fine tuning the methodology

4) Building the initial project plan

Source : [Agile Software Development: The Cooperative Game – 2nd Edition. Alistair Cockburn.]

Extreme Programming (XP)

The best role for a customer in XP is to write well-defined user stories.

Source : [User Stories Applied: For Agile Software Development. Mike Cohn.]

Summary

A Different Philosophy

1- Tools and Techniques

Agile analysis and design

Agile estimation

Communications

Metrics

Planning, monotoring and adapting

Product quality

Risk management

Soft skills negociation

Value based prioritization

Value stream analysis

2- Knowledge and Skills

Knowledge and Skills : Level 1

Knowledge and Skills : Level 2

Knowledge and Skills : Level 3

3- PMI-ACPism’s

4- Exam taking tips

5- Reference books list

6- Domains and tasks for PMI-ACP

A Different Philosophy for the project management :

Traditional project management

1- Plan what you expect to happen

2- Enforce that what happens is the same as what is planned

– Directive management
– Control, control, control

3- Use change control to manage change

– Change Control Board
– Defect Management

Agile project management

1- Plan what you expect to happen with detail appropriate to the horizon

2- “Control” is through inspection and adaptation

– Reviews and Retrospectives
– Self-Organizing Teams

3- Use Agile practices to manage change

– Continuous feedback loops
– Iterative and incremental development
– Prioritized backlogs

Un nouvel outil de développement personnel, en fait c’est l’outil de base, l’outil fondamental, voici ci-dessous l’outil « CQQ, PP, COQP, P »:

C’est bien agréable d’être important
mais c’est plus important d’être agréable
et c’est encore plus essentiel d’ETRE.

Un premier outil de développement personnel appelé « Mon Vélo »:

Fédérer l’ensemble du groupe sur un projet commun.
Faire que ce groupe soit le jour J plus fort que l’adversité, qu’il sache donner le meilleur de lui-même sans douter.
Forger une âme de groupe.
Un exemple, le groupe de Mr Aymé JACQUET pendant la Coupe du Monde de Football en 1998 et son comportement lors de la demi-finale.
Que s’est-il passé pendant ce match ?
Lilian THURAM,modèle de professionnalisme et de régularité, irréprochable et exemplaire, fait une grosse erreur de défense, la Croatie marque et la France est menée 1-0.
La France est en train de perdre sa demi-finale.
Lilian THURAM marque ce jour-là 2 buts alors qu’il n’avait jamais marqué en match international, ce sera d’ailleurs ces 2 premiers buts mais aussi ces 2 derniers.
Pourquoi arrive t-il ce jour-là à marquer ces 2 buts ?
Parce qu’il était en confiance et qu’il avait senti une force énorme générée en amont par la vie du groupe.
Parce que personne ne doutait, ni ses équipiers, ni le staff.
Ce n’est pas le talent qui fait gagner, ni le travail technique, ce ne sont que des pré-requis indispensables, plein d’équipes possèdent ce bagage minimum.
C’est la faculté à forger une âme pour le groupe, le transformer en véritable équipe. Ame qui lui permettra de renverser les pires situations, de vaincre les difficultés. C’est en cela que la vie commune et ce qui s’est passé en amont permettent de gagner les grandes compétitions.
C’est la fraîcheur mentale, qui englobe à la fois, l’envie, l’enthousiasme, la cohésion qui fait la différence.
C’est ça la VIE (Volonté, Intelligence collective, Envie / Energie).

Vie:

Se sentir physiquement et intellectuellement exister pleinement
Trouver sa place par rapport à soi-même, aux autres et à l’environnement

Quand le corps fonctionne
La mort est loin
Et l’esprit est libre
Ainsi l’âme vole

Dans un sport collectif tel que le rugby, il faut des compétiteurs sachant faire preuve d’autonomie dans un cadre fixé au préalable.
Ces joueurs devront partager une vision commune, une culture forte basée sur les valeurs fondamentales du rugby:
– respect
– parité
– loyauté
– solidarité
– générosité
– convivialité
– partage / échange

Richesse et réussite

Heart

« Ils te disent:
– il faut réussir dans la vie
Moi je te dis:
– il faut vivre, c’est la plus grande réussite du monde »
(Jean GIONO in les Vraies Richesses)

La Vraie Richesse de l’Etre humain est dans son cœur, son Essence, son âme.

« La raison n’a rien à faire contre les désirs du corps. Et quand elle y fait, elle se trompe … »
(Jean GIONO in Que ma joie demeure)

La vérité est ici et maintenant, l’eau est la vie, vivons pleinement notre vie.
Nous sommes tous ensemble, les êtres vivants, des éléments du Cosmos.

Labyrinthe

« La vie c’est la joie … »

(Jean GIONO in Que ma joie demeure)

Pour être acteur de sa vie, il faut faire preuve de simplicité, d’humilité et de pragmatisme face à la nature toute puissante.
Pour être acteur de sa vie, il faut une bonne dose de motivation et beaucoup de travail sur soi. Il faut chercher à en comprendre les mystères pour mieux appréhender son évolution, passée, actuelle et à venir.

Pov

« L’artiste ce n’est pas uniquement celui qui créé, c’est celui qui sent. »

(MALRAUX)

Le bonheur est dans l’instant, hic et nunc, ici et maintenant.
La richesse de l’Homme est dans son Ame, a chacun de bien la sentir, la ressentir, voire la re-sentir.
Et surtout ne pas vendre son âme, comme Faust.

Je suis Vivant

« Ils ont vendu leur âme et quant à leur amour
c’est une marchandise ici qui n’a pas cours …
on solde les yeux purs les songes les promesses
on solde on solde l’avenir et le passé … »

(ARAGON in Les yeux d’Elsa)

…/…

Ce que l’on attend d’un champion, c’est qu’il accepte de se mettre en danger, qu’il ose sortir du cadre, qu’il se rebelle si nécessaire, qu’il se sacrifie pour le collectif.
Pour connaître la valeur d’un collectif, il faut attendre la défaite.
Si chaque membre du collectif est capable de réagir, s’il est capable d’aller chercher ce qu’il a de meilleur dans son cœur, dans son ventre, dans son âme, s’il est capable de puiser au fond de lui-même pour mieux repartir de l’avant.
Dans cette situation de défaite, il faut posséder l’indispensable courage de se dire les choses en face, d’accepter de communiquer, d’échanger.
Dire la vérité à quelqu’un avec qui l’on joue, avec qui l’on risque beaucoup, c’est montrer son respect et son souci d’avancer avec lui.
L’excellence est une somme de petits détails, le collectif qui gagne est celui qui atteint la plus extrême précision.
Il faut être convaincu de ce que l’on fait, avoir envie tous ensemble de gagner et suivre son idée comme on suit une étoile.
C’est par la passion que naît et qu’est renouvelé l’intérêt.
La bonne réponse, c’est celle qui enrichit, ouvre des perspectives, laisse entrevoir d’autres possibilités.
Ainsi, à la fin du match, il y a le résultat, et quel qu’il soit, encore plus en cas de défaite, on ne peut se permettre de regretter, de se plaindre, d’attendre.

Talent, travail et excellence

Qu’as-tu fait de ton Talent ?

Dans tout art, et dans tout métier, le talent n’est presque rien, ce n’est qu’un point de départ, et le vécu est tout. C’est ce qu’on appelle l’expérience, on ne peut l’obtenir qu’à force d’humilité et de travail.
Il faut savoir cultiver notre jardin: nos compétences.
Deviens ce que tu es, c’est nécessaire et c’est le but de toute vie humaine.

En sport collectif, rugby, hand-ball, basket-ball, par exemples, en se basant sur les trois axes fondamentaux que sont loyauté, fidélité et solidarité les talents individuels vont être fondus dans un collectif encore plus performant.

Ce fut le cas de la fameuse « Dream Team » lors des Jeux Olympiques à Barcelone en 1992.

On parle alors véritablement d’Equipe, au sens noble du terme et non plus uniquement de groupe performant, tous les membres partageant un référentiel commun une culture et des valeurs fortes, c’est l’esprit collectif qui permet de renverser des montagnes.
Ensemble, nous pouvons tirer le meilleur de notre collectif. Grâce à l’aventure humaine partagée, les liens qui unissent les joueurs, les compétiteurs, font que sur le terrain, ils ne lâchent pas et se soutiennent dans les moments difficiles.
Ce qui est essentiel, c’est de lire la fierté et la détermination dans les yeux de nos partenaires et s’apercevoir alors que la crainte, la peur de nos adversaires nous importe finalement bien peu.
Ensemble osons innover!
Compter sur ses partenaires et les soutenir jusqu’au bout, les soutenir toujours, savoir saisir l’occasion de se montrer sous son meilleur profil.
Quand on a la base, on obtient le sommet. Quand on veut vraiment, on peut! Avec un mental et une énergie à tout casser qui autorise tous les possibles, et permet de remporter des victoires.
Le mouvement, c’est la vie et le collectif nous permet de nous sublimer.
Il faut pour cela avoir l’habitude d’évoluer dans un environnement complexe et changeant, ainsi que dans un environnement multi-culturel. Le message n’y est pas toujours facile à transmettre mais en mettant la vision partagée au service du collectif, nous pouvons tous contribuer à la création de valeur, et ceci de façon durable. C’est la voie de l’Excellence.
Adopté à tout niveau, le collectif transcende.
Seule la victoire est belle si nous avons su gagner en jouant véritablement ensemble.
C’est la recette de l’intelligence collective dont les ingrédients sont confiance en soi et force du collectif, cette recette nous met sur la voie de l’excellence.

Lean Thinking, Lean Management, Lean Manufacturing ou Système Toyota

Taïchi OHNO, un des pères fondateurs du Système de Production Toyota, a défini trois familles de gaspillages :
– Muda (tâche sans réelle valeur ajoutée, mais néanmoins acceptée)
– Muri (tâche excessive, trop difficile à réaliser, voire impossible)
– Mura (irrégularités, défauts,fluctuations)
Le gaspillage peut être résumé à tout ce qui excède, dans un milieu optimisé, la quantité minimale requise de machines, de matériaux, de matières premières, de pièces et de temps de travail, absolument essentielle à la création du produit (biens + services) souhaité par le Client.

Un Muda est donc une activité improductive, qui n’apporte pas de valeur aux yeux du client. Mais tout le monde par habitude, accepte et pratique cette activité, sans la remettre en question.
Néanmoins, certaines tâches sans réelle valeur ajoutée pour le Client sont obligatoires pour l’Organisation productrice (traçabilité, archivage, sauvegarde, …). Comme elles apportent de la valeur à quelqu’un, en l’occurrence, le Fournisseur, elles pourront être gardées.

La Pensée Lean (Lean Thinking) suggère que pour créer efficacement de la valeur, il est indispensable d’identifier les gaspillages et de les éliminer ou de les réduire, afin d’optimiser les processus de l’entreprise.

Bien qu’issus du Monde de l’Industrie, les « Muda » peuvent être aisément transposés dans tout type d’activités de Services quels que soient les Secteurs d’activités (Ingénierie, IT, Santé, Formation professionnelle, Logistique, Finance, …).

Taïchi OHNO identifie 7 types de gaspillages :
– la surproduction
– le sur-stockage (les stocks inutiles)
– les transports et déplacements inutiles
– le sur-processing ou les traitements inutiles
– les mouvements inutiles
– les erreurs, les défauts et les rebuts
– les temps d’attente et les délais

En réalité, on peut ajouter aussi:
– la sous-utilisation des compétences
et donc en fait, il y a bien 8 types de gaspillage et non uniquement 7.
Taïchi OHNO, le plus grand expert en Lean Manufacturing, ou Lean Management Toyota a dit:
 » Le plus dangereux des gaspillages est celui qu’on ne voit pas. « 

Le véritable défi de ce début de XXIème siècle pour les Organisations va bien être de travailler sur la notion de gaspillage et en particulier sur ce 8ème gaspillage.
Car cette meilleure utilisation des compétences peut devenir un formidable gisement de productivité, une source d’optimisation permettant une meilleure utilisation des compétences d’une part, et induisant une meilleure Gestion Prévisionnelle des Emplois et Compétences (GPEC) d’autre part.
Elle peut permettre une meilleure créativité et jeter les bases d’une intelligence collective permettant l’innovation collective.

Que la défaite soit fête.

Faire au mieux dans l’intérêt du collectif, l’équipe, et laisser son ambition personnelle là où personne peut la voir.
Construire sur l’intelligence, l’invention, le partage, la communication c’est le but de l’innovation collective.

Ce qui fait la beauté de la vie au sein d’un collectif, c’est que rien ne peut venir ternir la belle histoire d’amitié tissée au fil des aventures vécues ensemble.

L’être doit primer sur le paraître.

Si on ne laisse pas la défaite nous détruire mais si au contraire on sait l’utiliser pour se construire, voire se re-construire, alors oui la défaite peut malgré tout être belle.

Que la défaite soit fête!

Nous ne pouvons vivre bien que lorsque nous comprenons le monde qui nous entoure.
Il faut se ré-ancrer dans le passé pour mieux savoir en sortir.
Si on ne s’occupe que des racines, on se renferme sur son passé.
Si l’on ne regarde que vers le futur, les ailes sont trop légères.
Mais en réunissant les deux approches, nous disposons d’un bon bagage avec lequel nous pouvons voyager loin, et mieux vivre l’instant présent.